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Celui ci se compose d’une pièce unique, de taille moyenne, avec une dizaine de bancs d’écoliers à l’abandon. Sur une estrade au fond de la pièce, il y a un ancien tableau noir et le bureau du maitre dans un coin. Sur le tableau des dessins obscènes ont été griffonnés, œuvres de piètre qualité d’ados ou de chasseurs désœuvrés.
– Allez on va pouvoir mettre en place notre petite scénette! Tout d’abord, vous les maris, vous êtes désignés comme les ânes, car c’est par votre faute que nous sommes ici. Alors au coin, à genoux. Youssef, occupe t’en!
Youssef entraîne les deux hommes dans un coin. Il les fait s’agenouiller face à l’estrade et pousse l’humiliation jusqu’à les coiffer chacun d’un bonnet d’âne en papier qu’il a apporté.
– Bien maintenant, reprend Martin, il faut un maitre, et ce sera moi, à l’unanimité!
Se déplaçant jusqu’au bureau, il s’assied lourdement sur la chaise d’écolier. Il récupère une règle en bois rectangulaire et la tape légèrement sur le plateau de son bureau, comme pour réclamer le silence. Geste inutile tant on pourrait entendre voler une mouche dans l’atmosphère pesante de l’école.
– Ensuite, les élèves “lèche cul”, qu’on interroge toujours au tableau. Ce rôle vous est dévolu, Mesdames.
D’un signe de la tête il fait avancer Marie Hélène et Céline sur l’estrade, devant le tableau noir.
– Pour finir, les cancres, qui restent bien au chaud près du radiateur! Vous connaissez déjà Karim et Youssef, les autres arrivent, en retard comme il se doit!
Et à ces mots, la porte s’ouvre pour laisser place à un groupe de six hommes, visiblement prévenus par Martin. Parmi eux, Marie Hélène reconnaît avec effroi le réceptionniste du Relais et Châteaux! Les autres doivent être des compères de chasse du dit Martin, âgés de cinquante à soixante ans, bedonnant, avinés, cheveux gras, quand il leur en reste. Non sans avoir jeté un regard rigolard sur Serge et Vincent, ils braquent avidement leurs yeux sur les deux femmes et s’asseyent sur les bancs en croisant leurs gros bras sur leur bedaine.
-Vous le savez, dit Martin d’une voix joviale, en s’adressant à l’assistance. Aujourd’hui c’est la rentrée,
– C’est la rentrée des bites, ricane un homme aux cheveux blancs taillés en brosse, lunettes carrées sur un visage animé d’un sourire vicelard, et les yeux passant alternativement du cul de Céline à celui de Marie Hélène. Sa main par dessus sa panse palpe sa bite à travers un pantalon de toile maculé de terre.
Les autres « élèves » pouffent à leur tour tout en matant les deux femmes avec voracité.
– Silence dans la classe, fait Martin avec sévérité. Il va y avoir des punitions si ça continue. Enfin bon, un peu de tenue quoi. Raoul, dit-il au réceptionniste, pour fêter la rentrée, sers nous un petit cocktail. Les femmes d’abord, fait-il en lui lançant un clin d’œil.
Raoul s’empresse d’aller sortir de son havresac des gobelets en plastique, une grande outre gonflée et une petite bouteille emplie d’un liquide bleu turquoise. En souriant il emplit deux gobelets avec le liquide turquoise, puis les 8 autres avec un vin rosé tiré de l’outre. Il invite chacun des hommes à venir se servir puis s’avança vers l’estrade avec deux gobelets qu’il tend aux femmes tout en regardant comme un malade leurs gros seins sous les chemisiers blancs.
Céline commençe par refuser, et dit d’une voix mourante
– Je n’ai pas soif
-Tu veux pas trinquer, tonna Martin en lui postillonnant à la figure, allez, allez, fais pas ta mijaurée. Et si vous êtes sages et obéissantes, on va supprimer la punition de vos maris. Céline apeurée, avale une gorgée.
– Encore, encore, encouragea Martin. et tout le monde boit hein! Faut fêter la rentrée j’ai dit!
Dans la salle, les hommes avalent cul sec leur pinard tandis que Céline finit son verre.
Marie Hélène après un instant d’hésitation et après avoir regardé Serge et Vincent au fond de la salle, avale le breuvage.
Ce n’est pas mauvais, se dit-elle distraitement, légèrement alcoolisé et citronné.
– Et ben voilà, reprit Martin, maintenant la classe peut commencer.
On va interroger… Céline.
– Céline avance au tableau et, tiens, ramasse moi la craie qui est par terre
Céline se sent dans un état bizarre, presque détendue. En entendant l’ordre de Martin, elle s’exécute aussitôt ; en se penchant, sa jupette remonte , dévoilant ses fesses et sa fente environnée d’une toison rousse. Derrière elle, les hommes ont les yeux exorbités et chacun d’entre eux a instinctivement mis la main au paquet. Quelques sifflements s’élèvent et Céline en rougissant essaye de tirer sur sa jupette pour cacher son postérieur. Sans grand succès.
– Du calme dans la classe où les punitions vont tomber comme à Gravelotte, dit Martin d’une voix de stentor.
– Bon, Céline, leçon d’orthographe, écrit au tableau: Je suis..
Céline obéit en s’appliquant.
– Je suis une catin bonne à écarter.. Ecrit, tempête Martin en voyant que Céline hésite,
Bonne à écarter kütahya escort les cuisses … les cuisses… et à sucer.. à sucer des biroutes et enfourner, enfourner.. des manches.
Tout en observant Céline écrire consciencieusement, Martin, la règle à la main s’approche d’elle et relève négligemment sa jupette, dévoilant encore plus son joli cul.
– Très bien Céline, pas une faute, bravo ; maintenant, une question pour vérifier tes connaissances et après ce sera le tour de Marie Hélène. Quelle est la taille moyenne du pénis d’un étalon au repos et quelle taille atteint-il en érection?
Céline le regarde bouche bée.
– Allons, dépêche toi, réprimande Martin
– je ne sais pas, balbutia Céline, 30 centimètres?
– Au repos? fait Martin impitoyable?
– Euh, non, en érection, répond Céline avec espoir
– Ah la la la la, dit Martin en secouant la tête, tu es très très loin du compte, la bonne réponse est 50 centimètres au repos et le double en érection. Tu imagines ça Céline, une si énorme bite! D’ailleurs si tu te rattrapes, tout à l’heure je te montrerais un étalon pas loin dans un pré. On verra si tu le fais bander ajouta-t-il en riant. Mais n’anticipons pas, une mauvaise réponse, une punition, petite, compte tenu de ton excellente orthographe. Penche toi sur le bureau.
– Non, non, fait Céline effrayée,
– Penche toi je te dis, ordonne sèchement Martin.
Céline se pencha et écrase ses gros seins sur la table ; elle sent que Martin relève sa jupette totalement et passe doucement le bout de sa règle autour de son anus qu’elle contracte involontairement
Martin se met à rire en notant la réaction de Céline.
– N’aie pas peur ma belle, tu vas juste avoir une caresse d’Alphonse. Alphonse au tableau, ajoute-t-il.
L’Alphonse en question, survêtement blanc sale et marcel de la même eau, est un petit gros suant, aux cheveux longs et gras autour d’un haut du crâne dégarni. Il s’empresse de venir sur l’estrade
– Cochon d’Alphonse, tu bandes comme un malade, remarque Martin, faussement sévère en voyant la déformation du survêtement. Ce n’est pas sérieux, mais bon, occupe toi de ta camarade. Elle a droit à une petite fessée, disons, 10 claques sur son postérieur, 5 à gauche, 5 à droite pas une de plus. Et n’en profite pas salopard, dit-il en voyant qu’Alphonse frotte son bas ventre contre Céline.
A contre-cœur, Alphonse s’éloigne un peu de Céline puis sans crier gare, lui asséne une première claque sur la fesse gauche puis une deuxième sans mollir.
Céline pousse un cri autant de surprise que de douleur
– Aie, arrêtez, Vincent au secours! Elle essaie de se dégager mais Martin est venu devant elle et appuie fermement sur son dos pour la maintenir sur la table tandis qu’Alphonse continue de la fesser gaillardement et que son postérieur rougit de plus en plus.
– Ton Vincent, fait goguenard Martin, il est puni et peut pas bien t’aider là!
Dans le fond de la classe, Vincent s’est mis à brailler furieusement,
– laissez là, laissez là!
– Je me demande s’il y croit vraiment celui là, fait Martin en faisant signe à Youssef. Celui-ci s’approche de Vincent et lui colle une mandale.
– Alphonse, poursuivit Martin, ca suffit ca fait vingt. Et passant derrière Céline qui pleurniche un peu, il lui empoignela croupe et se met à la masser doucement. Voilà, c’est fini, le méchant Alphonse va se rasseoir. Bon relève toi ma belle, tout va bien, va t’asseoir avec tes camarades. Maintenant c’est au tour de Marie Hélène, allez au tableau!
Marie Hélène obéit et s’avance les bras croisés devant elle et le regard décidé, prête à affronter le salaud qui lui fait face
– Oh, mais c’est qu’elle est frondeuse, j’adore ironisa Martin, on va voir si tu te débrouilles mieux que ta copine.
Dans la salle, Céline pousse un cri et recule en renversant une chaise. En se retournant Martin voit qu’Alphonse et son voisin, un gros velu aussi sale que lui, tendent leurs grosses pattes vers le chemisier blanc de Céline qui montre maintenant des tâches de doigts sales à l’endroit tendu par ses mamelles.
– Ca suffit, Alphonse et Tatave, vous êtes bon pour une punition et vos camarades aussi, dit-il impérial. Tandis que Céline s’assoie craintivement sur sa chaise, il reprend la parole.
– Je veux savoir bande de sangliers en rut, qui d’entre vous s’excite sur ses camarades femelles : je vous préviens, ce n’est pas le genre de la maison de tolérer des comportements déviants. Allez, tout le monde baisse son froc et enlève sa culotte, enfin pas les filles qui n’en ont pas rigole-t-il. Youssef , laisse leurs culottes à nos deux fiottes, pour l’instant mon salaud..
Dans la salle, les hommes en rigolant se mettent à enlever leurs fringues en ricanant laissant apparaître une collection de sexe plus ou moins en érection et généralement de très bonne taille, sauf pour deux d’entre eux dont les appareils génitaux sont carrément énormes.
Derrière son petit bureau manisa escort d’écolière, Céline est toute rouge et regarde obstinément devant elle, tétanisée par la présence de ces ignobles porcs en ruts à côté d’elle..
Sur sa gauche, celui que les autres appellent Tatave s’est rapproché d’elle en glissant sur le banc. Du coin de l’œil, elle voit qu’il décalotte lentement un sexe marron pas très long mais fort épais, en faisant du coup apparaître, fleur obscène, un gland violacé au méat étonnamment large. De là où elle est, elle peut sentir l’odeur acre et puissante de Tatave dont les yeux ne quittent pas sa poitrine. Il lui envoie de petits baisers en cul de poule mais elle n’ose pas lui dire de se tenir tranquille. Peut-être, se dit-elle, que ce cauchemar va s’arrêter. Mais tandis qu’elle surveille Tatave, l’Alphonse s’installe prestement sur sa droite venant frotter sa cuisse contre la sienne.
– Oh! Céline étouffe un petit cri de surprise.
Alphonse bande comme un cerf et branle doucement son sexe veiné comme un cep de vigne. Il tourne lentement son visage vers elle et lui adresse un sourire édenté, puant et radieux. Céline serre les cuisses encore plus fort et ferme les yeux. Bizarrement, elle se rend compte alors que son con est humide. Elle se met à rougir de plus belle tandis qu’Alphonse vient lentement lui palper la croupe de la main gauche.
Depuis l’estrade, Martin s’adresse à Marie Hélène :
– Grimpe donc sur la table et mets toi à quatre pattes : leçon d’anatomie, ajoute-t-il d’un ton théâtral tandis que la salle pousse une exclamation d’aise
La mine furieuse, Marie Hélène se juche prestement sur la table et se met à quatre pattes
– C’est bien, voilà, baisse un peu la tête maintenant, je veux que ta chevelure tombe bien, c’est plus joli comme ça.
Martin repasse derrière Marie Hélène et retrousse la petite jupe sur ses hanches.
– Oh le bel abricot, dit Martin en observant la fente épilée en ticket de métro de Marie Hélène. Il ne demande qu’â être cueilli je crois! Ah, ouvre ton chemisier aussi, j’aime bien voir de belles mamelles qui ballotent.
Tandis que Marie Hélène obéit, Martin se tourne vers la classe, regardant avec indulgence Alphonse qui essaye sans bruit de forcer Céline à écarter ses cuisses.
– Vous avez là une application de la loi de Newton, j’espère que vous retiendrez cette leçon : deux gros nichons ont toujours tendance à plonger vers le bas et à s’agiter comme un pendule si je bouge le fessier.
Et ajoutant le geste à la parole il empoigne le cul de Marie Hélène et imprime une oscillation d’avant en arrière qui se transmet aussitôt à ses gros seins.
Dans la salle, tous les hommes, bouche ouverte, ont les yeux braqués sur la femme sur l’estrade en position de levrette. Céline même, en contemplant le spectacle, se rend compte qu’elle a les tétons tout durs. Alphonse aussi d’ailleurs qui a entrepris tout en regardant Marie Hélène, de tâter les nichons de sa voisine.|
– Bon, maintenant je vais vous montrer le principe de l’élasticité”, reprend Martin d’un ton vicieux. Regardez cette jolie petite fente, et ce trou tout étroit. En disant ça il caresse doucement les jolies lèvres de Marie Hélène, qui s’écartent doucement. Oh, mais surprise! il semble que cette position t’excite, tu es toute trempée!
Effectivement, en raison de la situation peut-être, de l’étrange mixture qu’elle a dû boire, et du contact des gros doigts de Martin sur cette partie si sensible de son anatomie, Marie Hélène se rend compte que son abricot est trempé. Rouge de honte, elle enfouit sa tête dans ses avant bras, ce qui a pour conséquence de relever encore un peu sa croupe.
De son côté Céline, doit faire face à des assauts de plus en plus entreprenant de ses voisins. Alphonse a réussit à défaire trois boutons du chemisier, et empoigne un sein à pleine main alors que Céline se contorsionne pour essayer d’échapper à son agresseur. Tatave n’est pas en reste et tente de glisser une main entre ses jambes tout en frottant son énorme gland violacé sur les cuisses de la jeune femme. Alphonse pince alors le téton érigé de Céline qui pousse un cri. Tatave en profite pour insérer sa main entre les cuisses, pose son majeur sur les lèvres et l’enfonçe d’un coup, pénétrant le sexe humide de deux phalanges. Céline repousse un autre cri qui fait se retourner Martin :
– Je voudrais un peu de silence dans la salle!
– Mais Maitre, reprit Tatave, je fais des travaux pratiques…Celle ci aussi est toute mouillée!
– Bon, continuez alors, mais ne dérangez pas la classe!
Après sa petite réprimande, Martin continue, d’un ton doctoral:
– Reprenons donc, voyez comme ce trou est tout petit…Mais si j’y rentre un doigt, il s’y adapte!
Et il joint le geste à la parole, pénétrant de son index le con de Marie Hélène, et y réalisant quelques aller-retours.
– Et maintenant, regardons ce qui se passe si on en met deux.
Le majeur de Martin rejoint aussitôt son index. mardin escort La pénétration, favorisée par une sécrétion incontrôlée de cyprine, se fait très facilement…
– Très bien, nous avons ici un spécimen très élastique, voyons jusqu’ou on peut aller!
Martin positionne trois de ses doigts en pyramide, les enduisant de la cyprine abondante de Marie Hélène. En lui appuyant sur les reins, il la fait se cambrer encore plus et introduit lentement ses doigts, jusqu’à la garde. Il se met alors à faire de lents mouvements, sur toute la longueur de ses doigts. Son pouce vient appuyer sur le clitoris chaque fois que l’intromission est maximale. Marie Hélène sent une étrange chaleur se répandre dans son corps; elle n’arrive pas à le croire, mais elle commence à ressentir du plaisir à cette pénétration forcée. Ses gros tétons durcissent. Son corps s’abandonne à la caresse infâme. Quand Martin déploie ses doigts et accélére la cadence, elle ne peut retenir un petit cri.
– Mmmm, tu as l’air d’aimer ça petite salope, te faire doigter la chatte. Vu la facilité avec laquelle j’ai rentré mes trois doigts, tu as dû en voir de grosses bites qui t’on défoncée…Mais tu n’as encore rien vu…
Il est interrompu par un cri venant de l’arrière de la classe.
Alphonse et Tatave, n’en pouvant plus, ont arraché les boutons du chemisier de Céline, dévoilant complètement ses gros seins. Frottant chacun leur gland sur l’un des tétons, y laissant de longues trainées de liquide pré-séminal. Tatave remonte avec son membre le long du cou de la belle, frottant ensuite son prépuce sur les lèvres ourlées. C’est lorsqu’il a tiré la chevelure rousse de Céline en arrière afin de lui faire ouvrir la bouche, que celle ci a poussé le cri qui fait se retourner Martin.
– Encore vous! Cette fois vous ne couperez pas à la punition! Marie Hélène, allez vous assoir, Céline et Tatave, au tableau
– Mais je n’ai rien fait! Tente de se défendre Céline.
– Pas d’effronterie, sinon la punition sera doublée!
– …
– Je préfère ça! Bon alors à genoux, les mains sur la tête.
Ce faisant, Céline présente à la classe sa poitrine offerte, les pointes érigées.
– C’est une punition collective. Tatave tu dois te mettre debout, les mains sur la tête aussi et te faire sucer. Il faut que tu arrives à jouir en moins de 5 minutes, sans en verser une goutte à côté, sinon la punition sera bien pire.
– Mais non, je ne veux pas lui faire une fellation, s’écria Céline!
– J’ai dit pas d’effronterie! Au lieu de 5 minutes, ce sera 4 minutes. Et si Tatave n’a pas joui, Il devra te fouetter les fesses, mais plus fort et plus longtemps. Tu as encore quelque chose à dire?
– …
– Bien, allez Tatave met toi en place, 3,2,1, c’est parti!
Céline, encore choquée par la fessée reçue auparavant, approche sa bouche du gland violacé, et commence à lui mettre des petits coups de langues. L’odeur est répugnante, le sexe disproportionné. Elle prend le gros gland dans sa bouche, lentement, et commence à l’enfoncer dans sa gorge.
Vincent n’en croit pas ses yeux. Céline, sa douce femme, si prude, si réservée, est en train de sucer un gros porc répugnant, devant une assemblée en rut. Et à sa grande honte, il doit s’avouer que cette situation l’excite, comme le prouve son sexe bandé. Un coup d’oeil à Serge, à côté de lui, montre qu’il n’est pas le seul à être excité. Ce dernier ne quitte pas Céline des yeux et arbore une belle érection.
– Il reste 2 minutes!
L’avertissement sonne comme une décharge électrique pour Céline. Elle ne veut pas recevoir de nouveaux coups de règles. Elle accélére ses mouvements de tête, enfonçant le pieu jusqu’au fond de sa gorge, et le faisant presque ressortir en serrant les lèvres le plus possible. Au passage elle donne de petits coups de langues pour titiller le gland.
– Plus qu’une minute
Céline accélére encore la cadence de sa fellation, aspirant littéralement le membre. Tatave commence à gémir, Céline sent son sexe palpiter dans sa bouche.
– 30 secondes!
Tatave explose, emplissant la petite bouche de Céline de sa liqueur âcre et salée. Il déverse des flots de sperme. Quelques goutes s’échappent de la bouche de la jeune femme et coulent sur les testicules, les jambes et les orteils de Tatave, ainsi que sur le sol carrelé.
– Oh comme c’est dommage d’en avoir fait tomber! J’avais pourtant prévenu qu’il fallait ne pas en perdre une goutte. Bon je vais être grand seigneur, tu peux utiliser les 15 secondes qu’il te reste pour nettoyer.
A ces mots Céline se précipite, lapant d’abord les couilles fripées de l’homme, descendant sur ses cuisses et insérant sa langue entre ses orteils sales pour en extraire les gouttes de sperme qui les a aspergés. Sans aucune honte ni retenue, elle passe sa langue sur le carrelage et récolte ainsi les réminiscences de la jouissance de Tatave.
– C’est bien, fit Martin, la punition est levée.
– Oh ben merde alors fit Alphonse dont le sexe tendu oscille comme un métronome. C’est que j’ai mal à la bite moi à force d’attendre. Y a que Tatave qui a pu lâcher son jus.
Ouais, il a raison renchérit Raoul dont les yeux exorbités semblent aimantés par les beaux lolos de Céline. Allez patron poursuivit Karim, moi non plus j’y peux plus t’nir!
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