Expédition en amazonie

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Amateur

Marion et son mari ont entrepris ce voyage pour une mission d’étude dans la forêt amazonienne. C’est une charge inespérée pour ce jeune couple d’anthropologues dans la trentaine. D’habitude, ce sont les doyens qui obtiennent les budgets et les accréditations nécessaires. C’est pour eux un rêve devenu réalité.

Ils ont fait un long voyage avec plusieurs escales jusqu’en Guyane. Depuis Cayenne, un petit avion monomoteur les a emmenés jusqu’à une piste de brousse à la frontière du Surinam et du Brésil. Ensuite, les chevaux les ont transportés jusqu’à la rivière où les attend le guide et sa pirogue. Pablo les attend, vautré dans un fauteuil, à la terrasse du café du village.

Il doit attendre depuis longtemps, car son élocution est pâteuse et son équilibre précaire. Jérôme, le mari de Marion, préfère ne pas prendre de risque, et reporte le départ de leur expédition au lendemain. La nuit dans la hutte est pénible. La chaleur, les insectes, les cris des animaux, c’est déjà désagréable. Mais, dans une hutte toute proche, une femme fait des vocalises, afin de prouver au monde entier que son amant la fait monter au septième ciel.

Trop énervé pour dormir, Jérôme tient à prouver que lui aussi est performant, et baise avec brutalité sa femme pour que ses cris puissent rivaliser avec ceux de la voisine. Au matin, Marion est crevée. Littéralement. Mais il faut partir. Pablo, le guide, est impatient, et il a oublié que c’est à cause de lui qu’ils n’ont pas pu partir la veille.

Le voyage est ardu parce qu’en cette saison, la rivière est mauvaise, de forts courants secouent la pirogue en tous sens. Pablo lutte contre les éléments. D’habitude, il a un assistant à la proue du navire qui l’aide et le guide. Mais aujourd’hui, ces deux crétins de français ont apporté tellement de matériel qu’il doit se passer de son assistant.

Ces deux idiots ne l’aident en rien. Le type à l’avant est mort de trouille, et il se cramponne de toutes ses forces à la pirogue. La femme se badigeonne les jambes, les bras et le visage de produits contre les insectes. Pablo est persuadé que c’est elle qu’il a entendu gueuler, cette nuit, pendant que son mari la baisait. Quelle salope ! De toute façon, elle perd son temps avec ses crèmes, elles sont inefficaces contre les insectes d’ici.

C’est au moment où la pirogue s’engage dans un affluent plus calme que le drame se produit. Un rocher à fleur d’eau, que Pablo n’a pas pu voir, et que cet imbécile de français ne lui a pas signalé comme il aurait dû, fait chavirer la pirogue. Les deux hommes, lourdement équipés, coulent à pic. Marion est chahutée par le courant, elle surnage un moment, puis tout devient noir.

Marion reprend conscience sur la rive. A cet endroit, la rivière est plus étroite, et un groupe d’indigènes a réussi à l’attraper au lasso, et à la hisser sur la rive. Marion est terrorisée. Son mari a disparut dans les flots, et ces sauvages n’ont pas l’air civilisés. Elle n’a aucune idée du sort qui l’attend.

Déroutée par leur langage et leurs mimiques farouches, tourmentée par le sort de son mari, trempée par son bain forcé, elle est traînée de force jusqu’à un campement niché dans la végétation luxuriante. Un assemblage de huttes misérables, invisible d’avion, Marion est conduite dans un carbet un peu plus grand que les autres. De toute évidence, son arrivée, forcée ou non, ne plaît pas aux indigènes.

Ils semblent la considérer comme une menace. Se pourrait-il que d’autres blancs, à sa recherche, viennent jusqu’ici pour troubler leur quiétude? Ils connaissent les blancs, leurs tracasseries administratives, et leur mépris pour les noirs. La pirogue qui a disparu, ils vont la rechercher, peut-être retrouver des débris, voire un ou deux corps. Est-ce que ça calmera leur curiosité morbide?

C’est la même réflexion qui occupe l’esprit de Marion, debout à l’entrée du carbet, clignant des paupières, les yeux brûlés par la sueur mêlée aux crèmes qu’elle avait soigneusement appliquées. La chaleur intense, l’humidité, la fatigue accumulée, la peur, et ces deux types qui lui tordent les poignets, elle est à bout.

Même dans son état de confusion, elle essaye de raisonner. Qu’est-ce qu’ils peuvent lui faire? Ils ne vont pas la bouffer, il n’y a pas de tribu cannibale par ici. Elle les dévisage. Ils sont de taille moyenne, légèrement plus petits que les européens, la peau très sombre, plus que cuivrée, presque brune. Mais ils sont incroyablement musclés, même les femmes.

Un faciès simiesque, avec des scarifications, des tatouages, probablement des rituels religieux. Les hommes ont un étui pelvien retenu à la taille par une ceinture en raphia, mais leurs bourses pendent librement. Les femmes portent une ceinture beaucoup plus large, une sorte de gaine, qui commence sous les seins et s’arrête juste au-dessus du pubis, laissant la chatte visuellement accessible.

Dans le sombre carbet, qui est suffisamment haut pour se tenir debout, elle est présentée à un vieil homme, ridiculement affublé de plumes et de divers pendentifs. Elle sait qu’elle se trouve face à trabzon escort un personnage avec un statut élevé, mais elle ne reconnaît pas les ornements de son accoutrement. Clairement, cette tribu n’est pas civilisée.

Sur un plan purement professionnel, c’est une réussite ! Sur un plan humain… Si encore elle s’en sort vivante ! Le chef exige des explications de ses sbires. C’est ce que croit comprendre Marion. Leur langage semble assez simple. Peut-être, si elle reste ici suffisamment longtemps, pourrait-elle apprendre leur langage? Leurs explications embarrassées ne semblent pas convaincre le chef.

Marion imagine facilement qu’il leur demande pourquoi ils ne l’ont pas laissée se noyer. Et pourquoi la ramener jusqu’ici? Elle va les enquiquiner plus qu’autre chose ! Mais la curiosité finit par l’emporter. Il n’a jamais rien vu de semblable. Une femme aussi grande, à la peau aussi claire, les cheveux blonds, les yeux bleus. Il l’examine de près, tourne autour, renifle son fumet un peu aigrelet.

Cette femme a la pétoche, il le sent. Son accoutrement trempé l’empêche de deviner plus, alors il donne ses ordres. Les deux sbires qui maintiennent Marion l’entraînent dehors et la confient à des femmes. Quatre femmes. Deux qui maintiennent les poignets, et deux autres en renfort, armées de machettes. Et les femmes emmènent Marion vers son destin…

Avant que Marion ne puisse réagir, elle est maintenue et enlevée par des jeunes femmes au faciès aussi peu engageant que les hommes. Elle essaye de protester, de les amadouer, mais elles ne comprennent rien, et Marion réalise que toute résistance est inutile, elles sont trop fortes et trop nombreuses. Elles l’entraînent jusqu’à une sorte de mare, et elles la forcent à se dévêtir.

Leurs doigts agiles comprennent rapidement comment fonctionnent les boutons. Marion n’oppose aucune résistance, curieuse de découvrir des coutumes nouvelles pour elle. Au centre de la mare, les cinq jeunes femmes font leurs ablutions. Seule Marion est entièrement nue, les autres ont gardé leur gaine en raphia. Formant une sorte de ronde où chacune lave sa voisine. Lorsque des doigts inconnus la pénètrent, Marion sursaute mais reproduit les gestes à sa voisine.

C’est un passage où les filles rient beaucoup, et Marion aussi. Des commentaires de sa partenaire qui la lave semblent intéresser les autres qui se groupent autour de Marion pour mettre leurs doigts partout. Toutes ces mains fureteuses et câlines troublent rapidement la jeune française qui halète et gémit. Mais l’arrivée d’une vieille femme interrompt les frivolités. Elle apporte un bol de liquide pour Marion.

Les jeunes femmes sortent de l’eau et elles incitent Marion à boire le breuvage. Ce n’est pas réellement mauvais, juste un peu âpre, et Marion se force à boire pour leur être agréable. Sitôt le breuvage avalé, les filles entraînent Marion derrière un buisson, l’installent à plat ventre sur une natte, soulèvent son bassin pour l’installer le visage sur le sol, les bras tendus, les paumes des mains à plat sur le sol, le cul relevé. Deux pieux sont plantés pour lier fermement ses poignets.

Marion sait parfaitement ce qui va se passer. Les jeunes femmes vont défiler, par ordre d’importance, pour lui doigter la chatte et le cul. Elles font le nécessaire pour que Marion ne soit pas déçue, et elles ont beaucoup d’imagination. Il n’y a pas que des doigts qui la pénètrent. Elles ont des objets pelviens, sorte de godes ceinture, objets contondants douloureux pour la chatte et l’anus de Marion.

Marion gémit bruyamment, et les filles se délectent de ses souffrances, tout en l’intronisant comme l’une des leurs. Si elle s’imagine que c’est terminé, qu’elles en ont fini avec elle, elle se trompe. Marion voit deux femmes apporter une statue en bois. Une idole païenne, grossièrement sculptée, équipée d’un énorme phallus. Visiblement couramment utilisée, comme le prouve l’usure du phallus et sa surface extrêmement lisse.

Les femmes traînent la statue jusqu’à Marion et la glissent sous elle, le phallus dressé contre sa chatte. La grosse bite à tête bulbeuse semble narguer Marion qui comprend immédiatement ce qui l’attend. Marion hésite. Elle sait ce qu’elles attendent d’elle, mais c’est si gros. Positionnée sur le divin phallus, les filles s’impatientent. Elles appliquent leurs mains sur ses hanches et la poussent vers le bas.

Impossible pour Marion de résister, elle glisse centimètre après centimètre en s’empalant sur le phallus en bois. Les jeunes femmes pèsent sur le bassin de Marion jusqu’au bout, jusqu’à ce que la pointe pousse contre son col de l’utérus. Elle déteste l’admettre, mais c’est si bon de se sentir remplie complètement. D’instinct, voluptueusement, ses hanches commencent à osciller. Marion chevauche la statuette tandis que sa chatte lubrifie le bois dur.

De plus en plus vite, elle baise la statue de bois tandis que les femmes hurlent des encouragements. Marion perd la raison tandis que son orgasme grandit au fond de son ventre. Elle frissonne, tremble en poussant tunceli escort un râle, avant de s’abattre sur la statue complètement épuisée, le phallus toujours planté en elle.

Ensuite, Marion est ramenée sous bonne escorte jusqu’au centre du village. Dans le carbet du chef, elle est attachée à un poteau qu’elle n’avait pas remarqué auparavant. Elle est ligotée fermement au poteau par des liens en raphia. Puis, les femmes s’en vont, la laissant seule. Elle regarde tout autour d’elle, et ne voit personne. Elle s’inquiète, d’autant plus que le breuvage semble faire effet. Ses parties génitales la démangent jusqu’à en être douloureuses, si elle le pouvait, elle se masturberait.

Elle s’accroupit et frotte ses cuisses l’une contre l’autre. Mais le remède est pire que le mal. Marion est de plus en plus excitée, maintenant ce sont ses mamelons qui pointent douloureusement. Toute cette excitation l’amène à penser à son mari disparut. Qui va la soulager, maintenant? Elle est jeune et elle a des besoins, des envies… La journée s’achève sans que personne ne s’occupe d’elle.

L’obscurité envahit le carbet lorsque la vieille femme réapparaît. Elle lui apporte un autre bol de liquide. Marion n’a pas le choix, elle doit le boire. Son goût est différent, et son effet aussi. Elle est plus calme maintenant, même si elle a toujours une furieuse envie de s’accoupler. Mais maintenant, elle s’en fiche, elle est désinhibée.

Une fête se prépare. Des femmes vont et viennent autour de Marion, installant des préparatifs autour de d’elle. Elle les regarde dans un brouillard comateux, sans trop comprendre, espiègle et émoustillée, espérant participer aux agapes avec de jeunes mâles vigoureux.

Lorsque l’obscurité est totale, les jeunes femmes réapparaissent, détachent Marion et l’obligent à se lever. Elle titube et chancelle, et les filles l’accompagnent jusqu’au centre du carbet. Elle est allongée sur une sorte de natte, sur le dos, les bras en croix, et l’on plante des pieux dans le sol pour lui attacher solidement les poignets.

Des torches sont allumées, les tambours commencent à battre, les filles dansent une sorte de ronde autour de Marion. Ses idées et sa vision sont de moins en moins claires, à cause du breuvage, elle distingue des ombres, des formes, elle perçoit le tempo rythmé des percussions, mais sa seule pensée concrète, c’est qu’elle aimerait danser avec elles. Ou baiser. Ou les deux !

Les drogues des breuvages font leur effet. Elle est ravie d’être là, au centre de la fête. Elle perçoit que c’est un rite de passage, comme un diplôme de bonne conduite, si elle réussit l’examen. Elle veut faire partie de cette tribu, et elle est prête à accepter de concourir à toutes les épreuves. Ses tétons dressés par la fraîcheur de la nuit et l’aphrodisiaque ingurgité sont badigeonnés d’un onguent rougeâtre à l’aide d’une feuille en guise de pinceau.

Ensuite, c’est sa chatte qui est ointe de cette substance graisseuse. L’effet est rapide. Une chaleur érotique se diffuse dans ses organes, et Marion se tord de désir en gémissant. Les femmes s’accroupissent autour d’elle, et leurs mains palpent et caressent les rondeurs de la suppliciée. Puis ce sont les doigts agiles qui entrent en action, investissant les orifices de la française, lui provocant un premier orgasme.

C’est le moment que choisit un oiseau gigantesque pour la survoler. Vaguement, elle croit reconnaître le visage du chef de la tribu, mais l’oiseau s’abat sur elle et la pénètre. Elle s’imagine être un lac, dont les eaux calmes sont agitées par le passage d’un immense anaconda qui trouble ses sens. Cet énorme serpent qui ramone son conduit vaginal lui procure un bien fou. Elle lève ses jambes pour envelopper ses reins, mais les filles lui maintiennent les jambes écartées.

Ce coït brutal arrache des cris de douleur et de joie mêlées à la jolie blonde, jusqu’à l’explosion finale. Un violent orgasme tord son corps, et ses sursauts désarçonnent son cavalier, ce qui fait beaucoup rires les filles présentent autour de Marion. Bientôt, ce sont les hommes de la tribu qui prennent place entre les jambes maintenues écartées de Marion. L’un après l’autre, dans l’ordre d’importance, jusqu’au dernier, un jeune homme visiblement simple d’esprit.

Son coït est bref, mais il lèche longuement sa chatte remplie de sperme, et ça lui fait le plus grand bien. Rendue folle de désir par les drogues, les caresses, et les coïts successifs, Marion regarde autour d’elle en invectivant les hommes présents pour les convaincre de la baiser encore. Mais d’un ordre bref, le chef congédie le groupe, ne gardant que quelques femmes autour de lui.

Le chef évalue Marion. Il est excité par la vue de cette femme blanche à la féminité exposée. Sa bite libérée de son étui pelvien durcit et se dresse en la regardant. Marion l’apostrophe :

« Ne reste pas planté là. Sers-toi de ta bite, et vient me baiser. Ma chatte est brûlante de désir. Viens ! »

Le chef ne comprend pas clairement ses paroles, mais son attitude l’incite à uşak escort s’accroupir entre ses jambes ouvertes. Son érection heurte la chatte de la jeune femme, qui aussitôt soulève ses hanches pour tenter de happer le sexe dressé.

« Oh mon Dieu, viens me baiser, supplie Marion, s’il te plaît, baise-moi vite pour calmer ce feu qui brûle en moi et me dévore ! »

Le vieux chef est capable de maîtriser ses émotions, il veut dompter cette femme pour en faire son esclave sexuelle. Il veut la baiser toute la nuit, à un rythme lent, pour la rendre folle de passion. Lentement, il insère son sexe en elle, la faisant gémir bruyamment. Marion gémit et halète, pas seulement à cause de la taille de la bite, mais surtout à cause de son excitation. Normalement, elle devrait être dégoûtée et horrifiée par la situation, mais étrangement elle a envie qu’il la baise, et se tord de convoitise.

Le chef la baise avec toute la lenteur qui sied à son rang. Il reste fasciné par la vision de sa bite agrippée par les lèvres du sexe de cette femme blanche, et la manière dont elle lubrifie sa bite qui brille dans la lueur des torches qui éclairent la pénombre de la hutte. Il augmente progressivement son rythme, encouragé par les râles de satisfaction de Marion, qui apprécie les effets de cette grosse bite qui racle les parois de son conduit vaginal.

Elle sent qu’elle va avoir un orgasme et elle s’étonne de voir à quel point le vieil homme la baise habilement et de façon remarquable.

« Oh mon Dieu, ne t’arrête pas, continue de me baiser, salaud, remplis-moi de ton sperme »

Marion l’invective avec un flot d’obscénités parce qu’elle sait que le vieux chef ne comprend pas un mot de ce qu’elle lui dit. Mais ces insultes augmentent son excitation, et bientôt un orgasme sensationnel la secoue et la laisse éblouie. Le vieux chef se retire immédiatement en appelant le simple d’esprit qui se tapit derrière un groupe de femmes.

Aussitôt, le simplet se précipite entre les jambes ouvertes de Marion. Ses doigts fins ouvrent la chatte pour voir son antre rouge vif. Sa bouche s’arrime à la chatte dégoulinante de Marion pour la laper avec avidité. Le clapotis de la langue agile a pour effet de provoquer un nouvel orgasme presque aussi bon que le premier.

D’une torgnole, le vieux chef chasse le niais et reprend place entre les jambes écartées de Marion. Cela continue toute la nuit sur le même tempo. Le vieux chef baise Marion, quand elle jouit il s’écarte, le simplet le remplace pour lui faire minette, et quand elle jouit de nouveau, le chef chasse le niais pour baiser encore Marion, jusqu’à la rendre folle.

Marion s’émerveille de leur résistance et profite d’une baise fabuleuse. Allongée sur le dos, sur une natte de paille, elle ouvre ses jambes pour eux, haletante de désir lorsque la bite noueuse glisse profondément dans sa chatte enfiévrée. Brisée et épuisée, elle tombe finalement dans un sommeil profond.

Le lendemain matin, Marion est réveillée par une vieille femme qui lui apporte à boire et à manger. Cette vielle femme parle un dialecte proche du “taki-taki”, un patois local pratiqué par les Noirs Marrons qui sévissent entre l’ouest de la Guyane et l’est du Surinam. Marion, qui possède quelques notions de cette langue primitive, parvient à comprendre qu’elle lui servira désormais de domestique, sans réaliser laquelle des deux sera la domestique de l’autre.

Marion n’a aucune idée de ce qu’elle mange ou boit, mais elle a tellement faim et soif qu’elle ne peut pas se permettre de faire la difficile. La nourriture à base de légumineuses et de fruits est excellente, par contre la viande est plus difficile à avaler à cause de son goût un peu rance. Elle réalise en même temps que la nudité est sa seule option, ses vêtements ayant disparu depuis longtemps, et en plus cela semble la tenue de rigueur ici.

Si elle croit qu’on va la laisser faire la grasse matinée après sa nuit de débauche, elle se trompe. La vieille femme, qui semble avoir un rang élevé, peut-être même la femme du vieux chef, lui donne l’ordre de la suivre. Marion lui obéit et la suit jusqu’à la rivière. Clairement, la vieille femme veut que Marion fasse sa toilette. L’eau est fraîche mais revigorante et le bain l’apaise agréablement.

La vieille femme insiste pour l’aider à faire sa toilette, comme si Marion n’était pas capable de se débrouiller seule. Bientôt, un groupe de femmes matures les rejoint dans l’eau pour participer aux ablutions de Marion. Le bain terminé, les femmes empoignent fermement Marion pour l’entraîner jusqu’à un tronc d’arbre en forme de banc, situé devant le carbet où elle a été solidement baisée toute la nuit.

La vieille femme lui ordonne de s’allonger sur le dos, sur le banc. À peine installée, ses bras et ses jambes sont fermement ligotés au tronc. Marion essaye de se débattre en protestant, mais elles sont trop fortes et trop nombreuses, et elle comprend rapidement que c’est peine perdue.

Marion aime garder sa toison pubienne soigneusement taillée, mais il semblerait que ces femmes, qui sont dépourvues de poils sur tout le corps, pensent que pour faire partie de la tribu, Marion doit l’être aussi. Avec une graisse, semblable à un savon crème, la femme badigeonne Marion entre ses jambes et, avec ce qu’elle suppose être une sorte de feuille de palme, elles commencent à la raser.

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